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Découvrez l’histoire de la bergamote de Nancy

Très connue de nos jours et tout aussi prisée les origines de la bergamote de Nancy sont troubles. En effet, autant l’essence de la bergamote est connue dès le Moyen-âge, autant l’origine de sa conception reste incertaine. D’ailleurs, saviez-vous qu’il est possible d’écrire une bergamote aussi avec un autre t? Les deux inscriptions s’utilisent.

Les origines de la bergamote de Nancy

Les bergamotiers viennent d’Italie par les pèlerins qui vont à la fameuse basilique de Saint-Nicolas-de-Port, près de Nancy.

L’utilisation fréquente de l’essence des bergamotiers connue depuis au moins le début du XVIIIe siècle. Tout le pays s’en sert, pas uniquement qu’à Nancy. Le limonadier Masson décrit des pastilles de sucre parfumées à « l’essence de bergamotte » en 1705 dans un ouvrage parisien.

Le Sieur Joseph Gilliers, chef d’office, distillateur de Stanislas Leszcynski au château de Lunéville, cite, en 1751, dans son ouvrage « le Cannaméliste français » une pastille faite avec de l’essence de bergamote « pour donner le goût », et dont le duc de Lorraine est très gourmand. Cette pastille reste toutefois très différente de la bergamote de Nancy. Puisqu’elle ressemble à celle de Masson en 1705 : elle se fabrique avec de la gomme et le sucre ne subit pas de cuisson.

En 1803, le confiseur Machet propose dans un ouvrage parisien une recette permettant de réaliser des « sucres à la bergamotte ». La recette de Machet semble en tout point identique à celle de la bergamote de Nancy connue aujourd’hui : des bonbons plats et carrés, réalisés en sucre cuit, au cassé, parfumé à l’essence de bergamote. Le confiseur précise que ces sucreries sont d’un grand débit.

Par la suite, c’est au confiseur nancéien Barbier-Duval à qui l’on doit la mention de « grandes tablettes de bergamote ». Il s’installe à Nancy à partir des années 1830. Le confiseur explique que les tablettes de sucre, après leur cuisson, parfumées à l’essence de bergamote. Elles connaissent un grand succès à Nancy.

La sauvegarde de la bergamote

Même si la bergamote de Nancy, ce petit bonbon de forme carré translucide doré et légèrement doré existe depuis un certain temps. Elle frôle la disparition.

la bergamote de Nancy

Heureusement, elle bénéficie depuis 25 ans, d’une indication géographique protégée. Elle rencontre un certain succès dès la fin du 19e siècle. Et va asseoir sa renommée à l’exposition internationale de l’Est de la France en 1909. Fabriquée exclusivement en Lorraine, elle circule dans la France entière et au-delà. Une belle histoire fragile. Qui aurait pu tourner court, si certains confiseurs de la région n’avaient pas veillé au grain dans les années 1980. Qui remarquèrent certaines déviances dans la fabrication de la bergamote de Nancy. Comme l’utilisation d’essence d’agrumes raconte Jean-Luc Golvic confiseur et le président de l’organisme de défense et de gestion au GDG de la bergamote de Nancy IGP. Vous comprendrez donc l’urgence, à inscrire la recette dans le patrimoine pour éviter qu’elle ne meurt. La seule solution obtenir une indication géographique protégée IGP. Les fabricants se réunissent pour mettre au point un cahier des charges précis et inscrire la recette dans le marbre. Car initialement, chaque confiseur faisait un peu comme il voulait. Aussi, après des concessions et échanges de quelques secrets de fabrication, cela permit de voir à chacun sur quels aspects chacun pourrait s’améliorer. Ces temps d’échanges et ont été nécessaires afin d’obtenir un processus de fabrication. C’est ainsi que les ingrédients comme l’huile essentielle naturelle de bergamote et les autres différentes phases de la recette et l’endroit où les bonbons se fabriquent en Lorraine mais ne vous y trompez pas malgré les IGP obtenus. Malgré la porte fermée au copieur, cela n’a pas pour autant uniformiser la bergamote de Nancy. Ce qui est magique avec la confiserie. C’est que même si tous les procédés de fabrication se respectent à la lettre. La fameuse bergamote de Nancy est différente selon le confiseur. De plus il y a un autre effet magique c’est le premier bonbon labellisé en France. De quoi rendre fier ceux qui se sont battus pour garder ses origines intactes.


 La bergamote de Nancy reste incontournable pour les visiteurs de la Lorraine et la ville de Nancy. C’est une belle idée cadeau pour faire découvrir la confiserie de la région. D’ailleurs, la boutique Lalonde https://www.lalonde.fr/ vous permet de découvrir cette merveille.

Le top des 5 lieux à visiter à Istanbul 

Voici une idée de 5 lieux à visiter à Istanbul.Istanbul est une vile très riche. Et il y a de quoi s’y perdre, on ne sait pas par où commencer.

Il y en a pour tous les goûts : spirituel, sensoriel, curieux ou éternel romantique.

Le détroit du Bosphore sépare Istanbul en deux parties. Il s’agit de la rive européenne et de l’asiatique. De ce fait, la ville d’Istanbul relie la mer noire, à la mer de Marmara.

Pour la monnaie courante c’est la livre turc, contre un euro on obtient 9,83 livres turc. Pour cela, il existe des bureaux de change pour échanger la monnaie.

La célèbre mosquée Sainte Sophie à Istanbul
Mosquée Sainte Sophie à Istanbul

C’est l’un des monuments les plus réputés d’Istanbul. La célèbre mosquée Sainte Sophie, qui est devenue un musée. Il vous faut compter environ 1h30 pour la visiter.

Vue que ce monument date de l’époque Byzantine. C’est l’empereur Constantin qui est son concepteur.

Dans cet édifice on découvre de superbes mosaïques sur fonds d’or. Il est possible d’admirer la nef centrale où se déroulait les couronnements, et bien d’autres choses encore…

Ensuite, il y a aussi un beau palais qui est l’un des 5 lieux à visiter à Istanbul qui vous plaira beaucoup. Il s’agit du Palais Topkapi.

C’est pendant la visite du harem impérial, que les joyaux de la couronne sont visibles, et ilq ne laisse personne de marbre.

Profitez d’une vue imprenable sur la mer Marmara, la Corne d’Or, et le Bosphore, pour terminer la visite au bout de la forteresse.

Une échoppe sur le grand bazard à Isntabul
Une échoppe très colorée sur le grand bazar à Istanbul

Si ceux sont les couleurs et les odeurs qui ont un intérêt important alors le grand bazar égyptien pour continuer de visiter Istanbul fera l’affaire.

Avec ses 60 rues intérieures et ces 5000 boutiques, 60 restaurants, et 18 fontaines, comment ne pas trouver son bonheur. Entre les épices, les loukoums ou les échoppes des artisans vous trouverez votre bonheur. Attention à ne pas friser l’indigestion.

Ensuite,Il y a un endroit aussi à visiter à Istanbul qui peut surprendre de par son architecture c’est probablement la fameuse citerne basilique.

Si, Istanbul renferme des merveilles à l’extérieur d’elle-même, il y en a aussi dans ses souterrains et en voici un bel exemple avec cette grande réserve d’eau.

Conçue à l’époque Byzantine comme la fameuse Mosquée Sainte Sophie, il fallait ramener de l’eau potable grâce aux aqueducs, de la Bulgarie jusqu’à Istanbul.

Sur les colonnes de l’époque, des têtes de méduses sculptées et ne passent pas inaperçues.

Avec un effet lumineux et sonore avec le bruit des gouttes d’eau, des poissons nagent paisiblement.

C’est un décor est idéal pour se croire en plein rêve parfait pour les romantiques et aussi les curieux.

Promenade sur le détroit de Bosphore

Si une ballade en bateau vous tente. Les promenades sur le détroit du Bosphore apportent une autre vision d’Istanbul.

De façon générale les bateaux partent de Eminörü, et proposent différents types de croisières.

Il faudra faire le tri, et prendre celle qui convient le plus, pour votre visite à Istanbul.

Pendant une de ces promenades, vous pourrez apercevoir entre autre les jardins impériaux du palais royal de l’Yldir et aussi la tour de Léandre.

Le fameux palais de Dolmabahce est l’un des plus grand palais de son époque.

Surtout emportez votre appareil photo ou votre smartphone car sinon vous allez le regretter pour visiter Istanbul.

Et on ne cède pas à la tentation de tout vouloir goûter dans le grand bazar. Sinon c’est l’indigestion assurée.

Voici un exemple d’article que je peux vous rédiger sur demande.